Certes le nombre des prêtres va en diminuant. Mais comment un chrétien honnête pourrait-il s’y résigner ? Sauf à renier sa foi et pactiser avec l’air du temps.
L’évêque nous propose de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Les paroisses ont toujours, et par définition, un curé.
Aussi les deux paroisses du « Pays de Chaussée » (Saint Just en Chaussée) et du Clermontois (« Coeur du Christ ») vont-elles, pendant un an, avoir ici un « administrateur », le P. Bernard Grenier, avec le P. Bonini, vicaire et là un curé, le même P. Bernard Grenier, avec le P. Guillaume Marot.
Chacun se rend compte qu’il s’agit surtout de « fédérer » nos forces et nos faiblesses.
Du côté des prêtres, cela peut paraître simple. Le P. Christophe Faivre, curé de la paroisse du Liancourtois, reçoit l’apport du P. Georges de Broglie,
tenu de se décharger de la paroisse de Pont Sainte Maxence.
À charge pour eux cinq, avec le P. Alexandre Hurand, nouveau curé de Pont Sainte Maxence, d’encourager cette « fraternité » qui est comme le début du début de l’annonce de Jésus comme Sauveur du monde et de tout homme venant en ce monde. Du côté dés baptisés, des « laïcs » comme nous disons, il s’agit aussi et surtout de prendre toute sa part à la vie, au témoignage qui sont le propre de l’Eglise. Tout sauf un jeu à somme nulle ! Mais bien plutôt un appel renouvelé à ce que chacun mette ses propres dons au service de tous.
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