
Les agriculteurs faisaient à tous le cadeau de la farine nécessaire à la confection des hosties pour la messe. Les sœurs contemplatives se chargeaient de la fabrication. Aujourd’hui elles se contentent d’assurer la mise à disposition des hosties fabriquées ailleurs. Les dons en nature ne sont plus de saison. Mais ils sont transformés en espèces sonnantes et trébuchantes. La fabrication et la distribution ont, elles aussi, changé. Mais nous avons tous besoin d’hosties. Qui voudrait bien assumer la charge et la grâce de ce service, quand les dons en nature sont remplacés par une collecte ?
CONTACT : Annick Renard aux bons soins de la paroisse
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